DOSSIER DE PRESSE
T'en fais pas j'suis là
1h32, Fiction, 2020
Un téléfilm poignant et remarquablement réalisé qui aborde sans détour les problèmes liés à l’autisme. Les comédiens, Samuel le Bihan et le jeune Roman Villedieu portent cette histoire avec une sincérité et une crédibilité époustouflantes ! Marianne
Les mauvaises têtes
1h26, Comédie, 2012
Rythmé, subtil et joliment écrit, ce « feel good movie » tendre et joyeusement impertinent fait mouche. Nouvel observateur
La comédie à la française réserve parfois de bien belles surprises. Sélectionné au dernier festival de Luchon, Les Mauvaises Têtes en est un réjouissant exemple. JDD
Très bonne surprise... Télérama
Tout sonne juste dans ce « feel-good movie » rythmé et très attachant... Télérama
L’une des grandes qualités de ces « Mauvaises Têtes » est de filmer tous ces protagonistes avec une tendresse bienveillante et jamais mièvre... Le Monde
Daniel Prévost et Camélia Jordana (révélée par l’émission la nouvelle star en 2009) tous deux parfaits dans leurs rôles respectifs... Le Monde
Les seconds rôles, ingrédients indispensables à toute-bonne comédie, sont très réussis, à commencer par Mylène Demongeot, surprenante en mamie fumeuse de joints... Télérama
Camélia Jordana, révélation de la Nouvelle Star 2009, prouve ici des talents d'actrice prometteurs... Télérama
Des personnages secondaires croustillants, notamment celui de Mylène Demongeot, charmante vieille dame indigne et dévergondée. Le Monde
À vos caisses
1h32, Comédie, 2010
Les choix du Monde
Article paru dans l'édition du 12.12.10
Un peu de vague à l'âme à l'approche des fêtes ? France 3 fournit ce soir un antidote léger. Sans prétention, mais sans effet indésirable observé à ce jour, A vos caisses ! agit en deux temps. Primo, il diffuse une douce chaleur. Secundo, de manière ciblée mais plus durable, il agrémente le temps passé dans les grandes surfaces, où le souvenir du téléfilm de Pierre Isoard peut aider à prendre son mal en patience.
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Télérama
Article paru dans l'édition du 18.12.10
Sur le papier, rien de plus convenu que ce conte de fées moderne (catégorie Cendrillon), où chacun finit par trouver sa chacune malgré les épreuves, les malentendus et un vieux fond de lutte des classes. Si le réalisateur et les scénaristes parviennent à en tirer une comédie aussi euphorisante, c'est sans doute parce que tout est bien équilibré, de l'arrière-plan « social » de la fiction (souffrances liées au travail et à son organisation, pauvreté des familles monoparentales, ultramoderne solitude, le tout évoqué par petites touches, sans insister) à la bulle de chaleur et de légèreté qu'ouvre la chorale à ses participants (e) s comme aux spectateurs. La princesse (exquise Léa Drucker) est une sacrée tête de lard. Le prince (Arnaud Ducret, très bien) chante faux comme il n'est pas permis, mais deviendra absolument charmant dès lors qu'il aura compris l'importance de la respiration abdominale. Tout cela, bien sûr, n'est pas très sérieux. Mais assez délicieux.
Sophie Bourdais